Une lueur s’échappe de cette interstice fibreuse. Douce et douloureuse à la fois, elle empli le faible espace résiduel; moteur ébranlé d’un soupir. Désespéramment accrochée à cette arche devenue macabre, la lumière tente le réveil d’une essence abattue.
Perdue dans ses vagues innombrables, l’humeur s’écume peu à peu dans la grisaille d’un hiver naissant. Suivre, n’est plus qu’un sens où l’arbitraire dicte les aléas irréels d’une onde querelleuse. Point d’idéologie, point de sacrifice, l’attente se fane dans la déchéance végétale. Prestement, les boues inondent ces derniers joyaux étincelants sans qu’une flamme daigne s’enivrer.
Le mercure s’efface lentement, les eaux demeurent tumultueuses et les étendards peinent… au revoir Octobre.