Après la petite présentation de March Brown, il va de soit que ces dernières peuvent être accompagnées de plus petits voiliers, tout aussi appétissants pour nos chères ponctuées. Les Rhodani ou plus couramment dénommées « olives » sont assurément indémodables et ô combien prenantes sur quelques rivières que ce soient.
Ce ne sont certes pas les « mouches miracles » mais elles appartiennent à cette catégorie d’indispensables qui en font les valeurs sûrs de nos boites. Déclinées à l’infini, cette teinte particulière permet une réponse intéressante à toute heure de la journée, pour peu qu’il y ait quelques activités de surface.
Plusieurs modèles ont ainsi ma préférence, plus ou moins minutieux, qui apportent cette confiance quand l’imitation se dépose au hasard des veines fraîches de début de saison. Je vous révèle ce jour, le secret populaire de mes fantasques montages avec la mutation pas à pas de l’artificielle amoureuse de remous.
l’émergente
Ces belles disparaissent aisément au hasard de nos errances. Tout comme nous, elles suivent les liens étranges et magnifiques tissés prestement; éphémères symboliques d’une vie de lutte et de souffrance, ponctuée d’éclats majestueux et irremplaçables.
thymallus10
février 22, 2014 at 2:13
De la théorie à la pratique ! Bel article !
pecheurdenature
février 22, 2014 at 6:14
Merci Manu,
et bientôt, au coin d’une gueule de fish…
j-14