Voilà quelques instants que je n’ai pu profiter allègrement d’une sortie « pleine »; j’entends par là, une journée entière dédiée à l’observation intimiste, individuelle, égoïste même.
Alors, pour de rapides moments d’oubli, je pu me conduire, lassé, vidé, vers des horizons si proches mais tellement salvateurs. Certes, leur furtivité ne permettait l’abandon total mais du moins, assurait l’évasion d’une entité affolée. Voici un résumé flagrant de ce constat où au soir, perdu dans le début de pénombre, j’assouvissais mes relents obsessionnels.
La prise est mince mais le plaisir de l’approche, du leurre et de la caresse libèrent pour quelques lueurs, l’existentialisme de mon être.
Ronan
juin 9, 2015 at 11:46
Belle approche, et beau poisson ! Ca me tente bien le tenkara !
pecheurdenature
juin 10, 2015 at 8:03
bonjour et merci Ronan pour ton com’. il faut avant tout identifier les zones propices pour la prise en main du matos (un petit ruisseau encombré sera plus compliqué qu’une rivière de 7/10m) mais après, tu te régaleras dans toutes les situations… au plaisir, Brice