Certes nous entrons dans la dernière ligne droite et ce ne sont assurément, que quelques semaines qui nous séparent maintenant du retour à l’eau. Néanmoins, quelle langueur nous envahie. Ces dizaines restent l’interface sinueux d’un amoureux bien trop éloigné de sa belle.
Bien sur, comme évoquées dans les billets précédents, de nombreuses opportunités automnales ou hivernales ont « soulagé » nos manques mais février reste LE mois délicat, celui qui ronge. Cette sensation étrange ou chaque instant dure, ou le temps, joueur facétieux, nous chatouille le vice.
La connexion, voilà ce qui nous lie éperdument. Le physique n’est plus, soit, mais le psychique…
L’esprit est tourné vers elle. La moindre seconde transpire sa présence, elle est là, fidèle, amie et amante, celle qui nous rattache à toutes ces viles obligations. Plaignons tous ces fourvoyés qui ont oublié cette essence de n’être qu’un faible face au grandiose, évadé rassuré auprès de ses bras, amoureux en son cœur.
Ma belle, la patience est une réalité mais très prochainement, nous ne serons qu’un (voire 4…), enfin !