Voici un petit moment que je n’avais relayé d’information depuis ma présence au salon de Clermont auprès de mon partenaire Tenkara Pyrénées. Vous avez tous noté, et cela va de soit, que le week-end dernier sonnait comme une libération. Enfin, les berges ont pu être arpentée non plus avec un apn mais bien canne en main! Une délivrance pour beaucoup que je conçois tout à fait, notamment pour ceux qui comme moi, vouent un réel amour à nos ponctuées.
Mais voilà, tous, nous ne pouvons vivre auprès de nos belles ou tout simplement nous libérer l’espace d’une heure et retrouver un ou deux courants, histoire de…
Bref, il en va ainsi de chacun et bien que nos nuits, nos pensées soient quelque peu « orientées », il faut suivre le rythme actuel et trouver une place légitime et nécessaire à nos amantes omniscientes. C’est ainsi, qu’après une rencontre bien agréable entre passionnés, à échanger et reconnaître des amitiés communes, le besoin de toucher le liège devenait irrépressible. Déplier les cannes, trier une énième fois les imitations, vérifier les nylons et bas de ligne, bref, une addiction se doit d’être satisfaite.
Profitant d’une pause professionnelle, je me retrouve bien entendu au bord de l’eau. Certes, la mélodie est bien moins agréable que l’ode d’une rivière mais cela reste de l’eau douce avec ces hôtesses taquines voire frustrantes. Le matériel est également bien différent en terme de confort de pêche; une soie 8, c’est quand même « lourd »!
Et oui, vous l’aurez compris, je suis parti taquiner non pas des ponctuées mais des mémères à grosses écailles. Bien m’en a pris car j’ouvrirai le compteur au bout d’une heure de tentatives infructueuses, entre averses et rafales de vent. Enfin, elle est là, ma 60+ de l’ouverture…
ps: pas d’infidélité les panthères, je suis chaud patate!!!!!