C’est avec un immense sourire que je rédige ces quelques lignes. En effet, samedi a été le théâtre de mon ouverture, sur les spots révélateurs de mon addiction. Bien loin des espérances et autres rêveries de scores ou de paquebot, me retrouver sur les berges de la Nive a suffit à combler ce vide grandissant. Tenir le liège, fixer l’imitation, observer les veines et enfin s’immerger dans ce monde de luxure sentimentale, telle reste l’idée d’une essence à satisfaire.
Entre partage et égoïsme, entre échange et solitude, entre nymphe et sèche, ma journée s’articulera autour de sensations d’envie, d’impatience, d’émoi et assurément, de sérénité.
Être au contact originel, se reconnaître au cœur de cette vallée, il n’en fallait pas plus pour vivre ces moments pleinement. Les belles ont dû le sentir car malgré une météo quelque peu virulente, certaines m’ont accompagné dans mon retour aux sources.
Vous l’aurez compris, j’y étais et déjà, la prochaine m’appelle. Je vous laisse avec ces quelques clichés en espérant et decomptant les jours, les heures les minutes… Quelles maîtresses !
Régis
mars 20, 2018 at 9:04
Vivement que l on se retrouve un jour avec ces belles….
Bonjour des jeunes de ste menehould 😉
pecheurdenature
mars 20, 2018 at 8:20
Bonsoir Régis, avec joie, les panthères sont bien là, pas toujours sympas mais qu’elles sont belles. À très vite.
Bonjour à tous, je crois qu’il y a de la place sur ciboure… 😋
Ghislain Bonnet
mars 22, 2018 at 9:56
joli texte et beau fish , a bientôt !
pecheurdenature
mars 22, 2018 at 1:35
Merci Ghislain, au plaisir.