Suite à une petite remontée au mois de mai (concours professionnel, guidages, potes), j’ai rejoint les experts pour retrouver les spots et nos chères ponctuées!!
Voici un petit résumé..
à très vite
Suite à une petite remontée au mois de mai (concours professionnel, guidages, potes), j’ai rejoint les experts pour retrouver les spots et nos chères ponctuées!!
Voici un petit résumé..
à très vite
Salutations,
Comme indiqué sur mes divers supports de communication, j’ai de nouveau fait quelques visites à cette charentaise. Les divers clichés et clips partagés m’ont amené à réaliser un montage des « grassettes » ayant été gentilles avec moi en acceptant mes offrandes qu’elles soient émergés, émergentes ou immergées…
Je renouvelle ici mes remerciements à l’AAPPMA La Volante pour son linéaire en réciprocité et son parcours nokill qui mérite indéniablement d’être pérennisé, eu égard à sa longueur (même si j’avoue que j’aimerai bien qu’il grandisse encore), sa qualité de pêche et la pression de pêche qu’il subit.
En effet, bien que mes sessions fussent en semaine, elles m’apportèrent chaque fois, ce petit hic qui chagrine, vous savez, quand vous êtes concentré sur le poisson et que vous sentez une présence toute proche, à quelques mètres, pendant cette éternité où la belle se refuse. Certains passent au loin mais d’autres n’hésitent pas, voire même à propulser un leurre (nymphe ou leurre dur) à 5/6 mètres de votre convoitise…
Ce sont les aléas de la réussite, amis de la Volante, continuez à vous battre pour garder une gestion durable de votre linéaire,
sur ce, voici les images,
Un nouvel article que je ne pensais pas pouvoir écrire de sitôt. En effet, vous le savez, au cours de mes évolutions, j’ai pu pratiquer ma passion sur nombre de rivières et notamment sur l’ensemble de notre beau territoire.
A l’esprit, me viennent les cours d’eau du Limousin (Diège, Liège, Vézère, Vianon, Chavanon, Dordogne, etc.), de Midi-Pyrénées (Dourbie, Tarn, Ariège, Salat, Neste, Adour, Garonne, etc.), de l’Aquitaine (gaves, saison, nives, nivelle, etc.), de Champagne Ardenne (Rognon, Rongeant, Marne, Saulx, Aube, Noblette, Moivre, etc.), de Bourgogne (Haute Seine), de Franche Comté (Ain, Suran) mais bien que des captures de 50+ ont eu lieu sur quelques une d’entre elles, il faut avouer que celle-ci est une barre non négligeable pour bon nombre de pêcheurs ne pouvant voyager.
Depuis près de 20ans, j’ai effectivement eu l’opportunité de parcourir la France et pour la plupart du temps, j’étais accompagné de mes cannes. Ceci m’a permis de me rendre compte par moi-même de la qualité de notre réseau hydrographique et notamment de sa valeur piscicole. Bien que ce dernier subisse des atteintes indéniables (et je n’irai pas jusqu’à dire « soutenues » mais bon, vous m’aurez compris…), il n’en demeure pas moins qu’il reste de vraies satisfactions pour qui se donne les possibilités de les apprécier.
Je ne ferai pas ici le constat que nous observons tous, je ne parlerai que de ma satisfaction personnelle à pouvoir trouver des milieux aquatiques où le plaisir simple de pêcher peut assurément être assouvi.Que ce soit le cadre global, l’environnement (notamment la flore rivulaire) ou l’accessibilité, il est certain que nous avons en métropole l’immense chance de pouvoir pratiquer sans trop de difficultés; bien sur les débats sur la réglementation, bien sur ceux sur la réciprocité, apportent quelques freins mais soyons réalistes, nos rivières sont « pêchables » et offrent un choix presque infini selon les velléités de chacun que ce soit en termes d’espèces, de tailles, de quantité, de technicité, etc. Tout pêcheur peut trouver son bonheur, j’en suis persuadé.
Pour ma part, après bien des errances, de nombreuses expériences et partages, je dois dire que le simple fait d’être au bord de l’eau me satisfait. Et c’est ainsi que ma surprise fut d’autant plus grande qu’à mesure que j’avançais halieutiquement, certaines partenaires me le rendirent assez bien qui plus est, avec une délectation toute égoïste.
Et ces derniers jours, une possibilité s’est offerte de découvrir une rivière qui m’était inconnue, la Bienne. Située dans le Jura (39), l’évocation de ce nom résonne dans l’esprit de tous les pêcheurs et bien maintenant, je sais pourquoi. En effet, au cours d’une session assez rapide (de 11h30 à 18h15), j’ai pu partager un instant au cœur de cette vallée surprenante. En effet, j’ai retrouvé des airs de Dourbie (falaises brutes), de Dessoubre (résineux omniprésent), d’Ossau (les rives encaissées « encoussinées » de mousse) et parfois même de Champagne (large gravière).
Après les surprises de 2011, puis 2014, deux poissons magnifiques capturés en Champagne, j’ai eu la joie de capturer en sèche, une superbe offrande zébrée. Je vous le présente ici, ce beau cadeau qui m’a fait utiliser le mètre plus d’une fois…
Un grand bravo à Monsieur VARENNE Charles, président de l’AAPPMA de St Claude « la Biennoise », pour son combat à proposer un tel parcours, dédié à la durabilité et à l’halieutisme.
renseignements et carte de pêche via http://www.peche-jura.com/parcours-du-bassin-de-la-bienne-et-de-l-orbe.html
Que fait un moniteur guide quand les rivières sont fermées à la pêche ?? rien, pensez-vous?
Et bien non, ce n’est pas qu’un simple consommateur, du moins, c’est mon idée de ce métier! Comme un père de famille, il reste attentif à ses parcours et s’assure de la bonne évolution de ses « enfants ». Lors d’événements locaux par exemple (aménagement, études piscicoles, etc), il essaie d’être présent auprès de ses partenaires, des techniciens ou autres institutionnels, autant que faire se peut.
Mais le guide est avant tout, un passionné de son terroir et un amoureux de son patrimoine. Il tente chaque jour d’apporter sa pierre à la préservation et à la sensibilisation de ces milieux si fragiles, notamment lors de rencontres ou de discussions anodines. Ne l’oublions pas cependant, ce qu’il aime par dessus tout, c’est être là, posé simplement sur les rives, contemplatif d’une nature qui l’accueille si souvent, amoureux de ces illusions apaisantes.
C’est ainsi que je me suis retrouvé ce dimanche, là où sans chichis, j’ai une énième fois observé…
Comme le titre l’indique, ce fut avec joie que se produisit une rencontre assez sympathique. En plein cœur de l’été, sous un soleil de plomb et une eau plus que basse, un cadeau de Manu pour une séquence bien cool!
Pas de gros montage vidéo pour cette minute et demi de partage, enjoy..
Une caresse ensoleillée, les paupières qui soustraient, enfin le souffle s’apaise. La vision n’est plus que sensation dans l’accueil de ces rayons maternels. Figée dans cet instant d’irréel, la forme devient une silhouette, une illusion. Aux aléas de voix dissonantes, le voile s’émancipe et s’abstrait de ces éternelles mansuétudes, jurons d’imbéciles professeurs. Vivre ces complaisances sans un regard courtois, lasser ses fantasmes et laisser fuir.
Boudés, les gestes sont fadaises en un miroir floué des bons sentiments. Tout apparait mais ne transparait. Rejoindre ces îlots intérieurs, tel s’emploie la pensée se réfugiant vers ces seules conquêtes avérées. Le mirage efféminée se fonde, s’oublie. Le voilà cohérent au sein d’un virtuel du paraitre. Point de lutte, de débats, de compromis, ne demeure que ce monde pacifiant, éloigné de ces gênants inconscients.
La bulle est en cela la liberté, non une prison. Penser, affirmer, évoluer, tomber, retenter, autant d’absurdité qu’une brume accompagne simplement. Sentir les éléments, toucher cette bise, voir la musique aquatique, entendre le cri végétal, le dictat n’est qu’un chemin au hasard des réflexions. Se perdre n’est en rien fatal, assurément l’évasion d’un être sans paraître.
Retournons à ces lieux vérité, sans strass, paillettes ni faux-semblants.
Juste parce que j’ai la flemme et que j’y participe, je fais tourner la dernière vidéo des Riversexperts
Encore quelques fishs sympa cette saison avec 2 ou 3 50+…
Je précise quand même qu’il s’agit d’images capturées au cours de la saison sur plus de 100 sorties (journées, demies journées, coups du soir) cumulées à 3 pêcheurs; je vous laisse imaginer le nombre d’heures, de bredouilles ou de sorties simplement d’observations!
C’est pour tout cela que nous les aimons nos ponctuées et que nous en prenons soin, à contrario de beaucoup (pêcheurs et autres dirigeants de la pêche associative, sans oublier les partenaires institutionnels…); ayons conscience de ce patrimoine en danger.
Comme chaque année, la fin de saison est propice aux retours en images. Il va s’en dire qu’avec la facilité de numérisation de nos errances halieutiques, les séquences peuvent s’enchaîner rapidement!
J’ai finalisé ces derniers jours, un petit récap’ très succinct de mes sorties Tenkara.
Faut dire qu’il est compliqué de capter tous les moments vécus en solitaire mais en voici quelques extraits…
A toute,
Salutations,
ce ne sera pas un long billet, simplement la joie de vous partager l’information émanent de la Fédération de la Marne pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique. Elle concerne une jolie ponctuée bien connue de mes services…
En effet, via le site fédéral, www.federation-peche51.com , j’ai eu la surprise de recevoir cette plaquette numérique présentant une capture pré-estivale:
A n’en pas douter, cette magnifique truite fario (ou plutôt, « ce ») de plus de 50 centimètres s’est très bien remise de la rencontre « guidage ». Le no-kill s’avère une nouvelle fois un geste de vraie préservation et ce, même sur les plus beaux sujets!
Vous le savez, je ne suis pas un intégriste de la chose mais dans les milieux plus que perturbés comme le sont la plupart des rivières de Champagne, cette simple action, peut vous assurer la pérennité du plaisir « pêche » (sans parler du plaisir de maintien d’un patrimoine en danger).
Amusez-vous et perpétuez l’étincelle d’un regard passionné (à sens unique).
Vous le savez, je suis adepte de cette technique importée du Japon. La simplicité de mise en action et sa légèreté, en ont fait un matériel privilégié pour la recherche des plaisirs simples au bord de l’eau. Rivières de plaines par excellence, la Champagne recèle un patrimoine halieutique intéressant avec des joueurs et joueuses sympathiques.
Substrat calcaire s’il en est, de magnifiques spécimens peuvent se révéler à celui qui présentera une dérive quasi parfaite. Selon les cibles, j’utilise diverses puissances de cannes Tenkara qui me permettent de vivre ce lien étrange entre l’homme et l’animal.
Cabrioles et rushs accompagnent mes journées que concluent les irisations violacées ou ponctuées de mes chers partenaires.Gentiment, tous regagnent leurs eaux pour de nouvelles sensations et prolonger l’espérance de ceux qui recherchent ce renouveau halieutique.
Partager, découvrir et observer voilà ce qui doit irriguer l’essence de nous autres, pauvres pêcheurs. Attention, certaines rencontres se doivent d’être délicates voire protectionnistes car la rareté fait de ces êtres, les joyaux irréels d’une région ingrate à leurs égards…
Le Japon entrouvre une voie de sagesse qui espérons-le, saura imprégner quelques décisionnaires et/ou amateurs avisés.
Protégez-vous, préservons-les.